Bruno, Moniteur D’Auto-École (Épisode 3)



Dans la voiture, Virginie caressait délicatement le sexe de Bruno, lui donnant ainsi un plaisir fou. L’homme cependant voulait aller plus loin :
- « Maintenant, je veux que tu me suces ».

Ces mots résonnèrent dans l’esprit de ma belle à la manière d’un écho retentissant. Virginie ressentit tout le désir que Bruno avait pour elle. Il voulait la prendre, la secouer, la pénétrer profondément. Cependant, Virginie ne se laissa pas impressionner par cet appel lascif et envoûtant.
- « D’abord, mes seins. Ensuite ça ! On dirait que tu ne respectes pas tes engagements ! » répliqua la belle.

Virginie cherchait à sortir de l’impasse dans laquelle elle s’était menée toute seule. Elle sentait que l’étau se resserrait toujours un peu plus derrière elle mais au fond, elle aimait bien cela et avait souhaité cette situation en provoquant et en taquinant Nono, comme elle l’appelait.

- « Tu as raison, répondit Bruno, je ne respecte pas mes engagements ; mais que veux-tu, tu es trop bandante. Tu es sexy, belle à souhait et tu sens si bon ; alors oui, j’avoue, j’ai trop envie de te sauter, là, maintenant ».

Virginie était flattée par tant de déclaration mais beaucoup moins embarrassée qu’au début quand Bruno lui disait qu’elle était très jolie et que si elle avait envie, il passerait bien un moment coquin avec elle.
Virginie savait. Elle savait dorénavant que Bruno n’avait plus qu’un geste à faire pour que définitivement il se retrouve en elle. Dans un instant de silence, percé entre deux dialogues, Virginie regarda néanmoins sa montre :
- « Il est dix heures moins le quart ! dit-elle. Tu vas être en retard pour ton prochain cours ! »

Bruno regarda sa montre. Il ne lui restait effectivement plus que vingt minutes pour rentrer à l’agence et réceptionner son prochain rendez-vous. Virginie démarra. Dans la foulée et pour ne pas perdre plus de temps, Bruno prit les commandes du levier de vitesse et des pédales de frein, d’embrayage et d’accélérateur.

Il laissa la belle s’occuper seule du volant :
- Ne t’inquiète pas, on sera pile à l’heure ; dit-il à Virginie.
- Oh, je ne m’inquiète pas. C’est pour toi que je dis cela.

Virginie aimait le taquiner et le titiller. En arrivant en ville, cependant, elle n’osa pas demander à Bruno si elle devait prendre rendez-vous pour la semaine prochaine à la même heure, avec lui. Elle espérait secrètement mais Bruno restait silencieux, concentré sur la route comme si rien d’autres n’avait de l’importance que la conduite qu’il menait de concert avec ma dulcinée.

- Nous sommes arrivés ! lâcha Virginie.
- -Oui, tu peux prendre rendez-vous avec moi auprès de mon collègue, à l’accueil. Samedi prochain même heure, c’est ça ?
- Oui, répondit Virginie timidement.
- Ok, on fait comme ça, ajouta Bruno. Tu m’excuses, mais je dois y aller maintenant. A la semaine prochaine ?
- A la semaine prochaine !
Soudainement remplie de timidité, Virginie était captivée par l’assurance de Bruno qui lui filait littéralement un rencart. La belle sortit du véhicule, pensive, lascive. Son cœur venait de chavirer comme si la foudre à l’instant venait de frapper.

A suivre.

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